Il est curieux mais intéressant d’aborder l’évolution du marché mondial (2009-2010) des produits dérivés du lait (beurre, poudre…). Toutefois, il me semble que pour un CER FRANCE, comment ne pas aborder l’évolution de la rentabilité de nombreux ateliers ateliers commercialisant aujourd hui un produit qu’est le lait à un prix inférieur à son cout réel de revient (charges réelles et supplétives inclues.). L’agriculture serait-elle un secteur de l’économie à part, voir ringard, autorisé à vendre à perte ce qui semble vouer ce secteur à sa propre disparition.
Votre remarque est effectivement pertinente, et les CER FRANCE sont bien placés pour analyser la rentabilité des exploitations laitières, notamment par l’approche des coûts de production.
Dans leur conseil quotidien auprès des agriculteurs, les CER FRANCE s’efforcent d’avoir une approche globale en associant à la dimension microéconomique de l’exploitation un angle macroéconomique concernant l’évolution de l’environnement des agriculteurs.
C’est donc dans cet esprit que les travaux du groupe veille économique sont conduits. la question au coeur de nos travaux étant toujours la même : Comment ces évolutions que nous décryptons (les marchés, les filières, la PAC, la réglementation, etc..) impactent les exploitations ? et quels conseils ou recommandations pouvons-nous faire auprès des adhérents ?
Sur cette analyse du marché du lait (sans nier la crise de 2009-2010), il nous semblait intéressant de pointer ce net redressement des cours (on pourrait même parler de nouvelle flambée), qui ne manquera pas d’impacter les exploitations laitières, soit au niveau du prix du lait soit en termes de volume à produire.
Nous sommes convaincus que les exploitations laitières ne peuvent plus ignorer ces éléments de marché, et qu’elles doivent l’intégrer dans leur stratégie.
Il est curieux mais intéressant d’aborder l’évolution du marché mondial (2009-2010) des produits dérivés du lait (beurre, poudre…). Toutefois, il me semble que pour un CER FRANCE, comment ne pas aborder l’évolution de la rentabilité de nombreux ateliers ateliers commercialisant aujourd hui un produit qu’est le lait à un prix inférieur à son cout réel de revient (charges réelles et supplétives inclues.). L’agriculture serait-elle un secteur de l’économie à part, voir ringard, autorisé à vendre à perte ce qui semble vouer ce secteur à sa propre disparition.
Votre remarque est effectivement pertinente, et les CER FRANCE sont bien placés pour analyser la rentabilité des exploitations laitières, notamment par l’approche des coûts de production.
Dans leur conseil quotidien auprès des agriculteurs, les CER FRANCE s’efforcent d’avoir une approche globale en associant à la dimension microéconomique de l’exploitation un angle macroéconomique concernant l’évolution de l’environnement des agriculteurs.
C’est donc dans cet esprit que les travaux du groupe veille économique sont conduits. la question au coeur de nos travaux étant toujours la même : Comment ces évolutions que nous décryptons (les marchés, les filières, la PAC, la réglementation, etc..) impactent les exploitations ? et quels conseils ou recommandations pouvons-nous faire auprès des adhérents ?
Sur cette analyse du marché du lait (sans nier la crise de 2009-2010), il nous semblait intéressant de pointer ce net redressement des cours (on pourrait même parler de nouvelle flambée), qui ne manquera pas d’impacter les exploitations laitières, soit au niveau du prix du lait soit en termes de volume à produire.
Nous sommes convaincus que les exploitations laitières ne peuvent plus ignorer ces éléments de marché, et qu’elles doivent l’intégrer dans leur stratégie.